Cornice spezzata in giallo, olio su tela 200X300, anno 2008
Granetto se rattache à cette latéralité expressive, qui, en se consolidant dans le tonalisme de la matière de la grande peinture vénitienne, a fournit un langage de latence à toute la peinture espagnole du Greco au premier Picasso, aux flammands, à l'impressionnisme francais, à l'expressionisme allemand, jusqu'aux expériences complexes d'un Turner ou d'un Bacon. Il s'agit d'une peinture qui abolit, à partir du rapport matière-pensée, n'importe quel absolu théologique ou idéaliste; qu'il découle soit des traditions romano-humanistes, de Pompei à Pontormo, repris à notre époque par cette peinture fortement motivée par des exigences d'ordre programmé, à l'instar de la métaphysique d'un De Chirico, du surréalisme de Ernst, du sociologisrne de Sironi ou de Lèger, jusqu'aux récents phénomènes de l'hyperréalisme américain ou de l'anachronisme italien; soit des expériences dérivant d'une mentalité cartésienne fidèle à l'idée utopique du progrès, comme les expériences futuristes, l'équilibre Phobique de Mondrian, le conceptualisme nihiliste de Ducharnps, etc. Cette peinture, par principe, élude une quelconque centralisation, afin d'établir, entre le monde et elle, un systéme d'oscillation extrémement mobile, capable de se renouveler dans la continuelle stratification d'expériences et se sollicitations internes et externes à elle-méme. Les signes les plus reconnaissables en sont: un dessin qui tente toujours d'échapper à lui-méme, des couleurs vibrantes , discontinues, jamais péremptoire, une lumière dégagé d'un rapport violent avec les ombres, une matière conditionnant la subjectivité de son manipulateur, une base symbolique construite comme une fugue bachique, où les variations du schéma formel qui la contiennent sont les plus irnportantes, un tendancialisme idéal toujours pret à accueillir la clarté du doute, à distinguer le revers de la médai1le, I se révéler, grandeur non réductible, ni à une époque déterminé, ni méme aux exigences de la chronique, une résonance tourmentée, jeux d'équilibre avec les mutations de la civilisation, et enfin, un ennui profond pour la rhétorique.
Luigi Granetto (Rovereto, Italy - 1950) generated intense motion in the fields of literature, poetry and essays. The aim of inventing efficient editorial formulas has contributed to research in various interdisciplinary aspects of the arts and also deals with music and theater. An uneasy and fairy painter, Granetto arranged many private exhibitions in the most renowned art galleries in Italy and the rest of the world. In 1987 he displayed seven large canvases on the creation of the world to celebrate Franco Battiato’s "Genesi" at the Theatre Regio in Parme. In 1995 he displayed his projects for the Consorzio Replastic at the Palazzo della Triennale.in Milan. in 1999, a collection of 100 works on the world of fashion were put on display and then reexhibited in 2000 in Milan, at the Galleria Vittorio Emanuele and at the Spazio Oxus. In June 2005, he displayed his work with Pesce and Lodola at the Estense Castle Museum in Ferrara on the occasion of the interdisciplinary exhibition “Dreamers of Colors/Art and Fashion” Other private exhibitions are :in Milan Visionnaire Design Gallerry 2010, Galleria San Lorenzo 2009, Miart 2008, Miart 2007, in Stuttgart: Fellbach Haustelle
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